Page des oiseaux rares du Québec

Une Mouette rieuse présente.

Un adulte en plumage d'hiver quasi complet, avec mue assez avancée des secondaires et rectrices centrales. Avec le groupe de Goélands à bec cerclé attirés par les odeurs de l'émissaire des eaux usées. Grosse mouette au manteau gris pâle, bec et pattes rouges vifs. Tache auriculaire grise diffuse et une plume foncée sur le côté droit de son cou, restante de son plumage nuptial. Au même endroit où un individu avait passé une bonne partie de l'automne l'an dernier.

Un juvénile observé à la grève Leclerc.

Un individu observé.

Un individu toujours présent.

Au large de Tadoussac, groupe de Phalaropes à bec étroit.

Chante chaque matin, depuis le 18 août, entre quelques minutes avant et quelques minutes après le lever du soleil. Essentiellement silencieux le reste de la journée. Parfois un Troglodyte familier chante en même temps.

Confirmé par le chant et le plumage, observé à moins de 10 mètres.

Toujours présente.

Deux individus se nourrissent dans le fond de la baie.

Un juvénile présent en compagnie d'un Petit Chevalier à mon arrivée. Il s'envole quelques minutes plus tard, pas revu.

Un individu toujours présent.

Deux individus revus.

Un cygne toujours présent.

Aperçu quatre individus cet après-midi.

Une Mouette pygmée juvénile avec des Mouettes tridactyles.

Une adulte observée à port-Daniel

Trois oiseaux sur une barre de courant, un kilomètre de l'autre côté de l'île Saint-Barnabé.

Un Phalarope à bec étroit toujours présent dans un des étangs d'épuration.

Un individu vu et entendu sur l'avenue De Meulles à Saint-Hyacinthe.

Longe mince bande noire à l'aile côtoyant une une longue bande blanche à l'aile, ligne malaire noire bien visible ,queue carré plus courte que la Tourterelle triste. Vu à l'extrême est de la vieille voie dans un des arbres morts à cet endroit; En compagnie de merles, jaseurs et roselins.

Toujours présente dans la rivière.

Suis en ponton sur le lac Saint-Pierre entre les embouchures de la petite Saint-François et de la Saint-François, deux Pélicans d'Amérique présents.

Perché dans les grands arbres face au manoir Philipsburg.

Deux Urubus noirs toujours présents près du Manoir Philipsburg.

Un individu bien entendu, vers le S0.

En compagnie de deux Bécassins roux.

Un individu présent sur ce site.

Deux cygnes toujours présent sur le site.

Bien observé parmi une bande hétérogène d’oiseaux hyperactifs (mésanges, viréos, sittelle, parulines) qui se nourrissaient dans les arbres près de l’embouchure de la rivière aux Brochets. Cercle oculaire blanc et rectrices externes blanches.

Vole au-dessus du marais.

Au moment du coucher du soleil, l’estuaire devient miroir près du rivage. La température descend rapidement et la lumière devient claire et précise. Il n'y a plus de brume de chaleur. Les conditions permettent de trouver des hareldes et des guillemots au large. Ce sont de superbes conditions pour trouver un phalarope et nous inspectons en vain tous les radeaux d'algues. Nous trouvons le labbe qui entre dans la baie de la pointe aux Goémons assez haut au-dessus de l'eau. La structure de l'oiseau n'est pas particulièrement robuste. L'oiseau n'est pas en chasse. Après quelques coups d'aile, il glisse tout doucement vers l'eau pour se poser assez loin. En vol, on ne peut distinguer de motifs de plumage puisque l'oiseau est à contre-jour. Pour nous à ce moment, il s'agit d'un labbe sp., possiblement un labbe parasite en raison de sa proximité du rivage. Cependant, nous sommes cependant à la lunette, au grossissement maximum (65x88). Au moment de se poser, l'oiseau ouvre ses ailes pour changer d'angle et freiner, c'est alors que nous pouvons voir distinctement les deux rectrices démesurément longues. Les derniers battements d'ailes juste avant de se poser font même onduler les rectrices. Nous concluons donc que nous venons d'observer un adulte Labbe à longue queue comme celui observé au début juillet près du rivage à Pointe-des-Monts.

Toujours aux alentours.

Observed flying among shrubs and low trees along side of road for 1 to 2 minutes. Long tail, white wing patches clearly visible.

Au moins deux Phalaropes à bec étroit toujours présents à la RN de la Baie-Missisquoi.

En haut du premier bassin (en arrière de ce bassin, il y a un autre bassin, suivre la clôture extérieur).

Toujours présente.

Deux individus revus. Site accessible par bateau seulement.

Observé longuement lors de deux envolées différentes avec des bécasseaux et Pluviers semipalmés. C'est sa taille fortement supérieure aux autres limicoles qui a attiré mon attention sur celui-ci. Sa queue pâle et sa teinte m'ont d'abord fait penser à un Bécasseau maubèche, mais son long bec courbé vers le bas, la quasi-absence de blanc visible dans les ailes et sa silhouette plus fine (moins bedonnante, allure plus allongée causée par les pattes dépassant les rectrices) m'ont fait écarter cette possibilité. Son croupion était d'ailleurs d'un blanc beaucoup plus éclatant que ce que peut montrer un BEMA. Disparait vers le SW.

Un adulte observé au télescope à 30m, au pied de la chute. Partiellement en mue. Calotte et cou en bonne partie gris (plumage d'hiver). Sourcil blanc. Dos très sombre arborant en partie les motifs du plumage nuptial. Dessous roux, délavé, du haut de la poitrine jusqu'aux sous-caudales (comprises). Côtés de la poitrine fortement barrés verticalement de taches brun foncé (marques en forme de haricot). Cela exclus la sous-espèce Andersonii du B. roux, qui est normalement mouchetée. Queue très sombre; les bandes noires sont nettement plus larges que les pâles, et celles-ci sont teintées de roux, surtout dans la partie centrale de la queue. En comparaison directe avec un Bécassin roux juvénile, plus grand, plus robuste et d'apparence bossue. Bec un peu plus long que chez la moyenne des Bécassins roux, mais encore dans la zone de chevauchement entre les deux espèces. Pas de cri entendu.

L'Aigrette bleue juvénile est présente au Bassin de Saint-Bonaventure pour une 9e journée consécutive. L'accès y est autorisé à tous.

Avec des Urubus à tête rouge dans un dortoir.

Sur le lac à se nourrir le matin vers les 9 heures. Deux spécimens, probablement un couple. Le plus surprenant, c'est qu'à l'arrivée de Bernaches du Canada non loin d'eux... ils se sont déplacés pour les envoyées!!!! Observés de nouveau le 28 août 2020.

Deux individus se reposaient sur le lac du Huit, à l'embouchure de la rivière, au bout de la rue des Pins. Possiblement d'origine captive.

20 Aout, pm. Northern Mockingbird side of road 138 at junction of 138 x r. Boisvert (Longue Rive, Côte-Nord) Un Moqueur polyglotte sur le côté de la route 138, à la jonction de 138 x r. Boisvert (Longue Rive, Côte-Nord)

Aperçu dans la petite baie de la Pointe du Poste à Sept-Îles. Je l'ai revu à quelques reprises et il était encore là à mon départ.

Un mâle observé sur la clôture du terrain de soccer, près du jardin communautaire.

Bien observée à la lunette de repérage.

Je croyais que c’était un goéland à première vue mais ses longues pattes son long bec et sa taille (plus petit qu’une aigrette) m’ont tout de suite fait réaliser qu’il s’agissait d’un Héron garde-bœufs.

Deux immatures ont visité rapidement un arbuste de mon jardin, une épine-vinette gorgée de fruits.