Page des oiseaux rares du Québec

Repéré à 12 h 45 sous un temps pluvieux et venteux, au nord de la baie. Fraîchement arrivé du jour. Arpente la plage de la baie Ptarmigan. Il est vraiment dans son habitat, des débris partout qu'il arpente un à un et sur lesquels il se perche et ne cesse de changer de perchoir... Il court en vitesse sur la plage comme un Bécasseau sanderling capturant de gros insectes en sautant ou à la volée, hoche la queue continuellement, a les allures et fait penser à un jeune merlebleu. Prend des pauses à l'occasion se perchant et se cachant sur les débris qui bordent et qui entrent dans les arbustes et la végétation (aulne, spirée, scirpe, etc) Tête et dos gris verdâtre. Gorge, poitrine et flancs de couleur chamois-fauve. Centre du ventre blanc. Sous-caudales chamois également. Large bande noire au bout de la queue se terminant par une mince bande blanche. En vol lorsqu'il ouvre la queue. Il laisse apparaître une large bande blanche à la base de la queue dans lequel un motif noir apparaît au centre de la bande blanche étant le prolongement de la bande noire (illustrant un T noir à l'envers). Mince bande rousse en marge de l'aile bordée d'un gris foncé et roux plus large au niveau des primaires fermées. Mince ligne noire traversant l'œil avec mince ligne superciliaire gris-bleuté pâle se prolongeant sur le front d'un côté à l'autre en une mince ligne blanche. Était toujours sur place à mon départ, avec l'abondance de nourriture et l'habitat d'intérêt pour le traquer, je ne serais pas surpris qu'il prolonge son séjour pour se refaire des forces.

Il se nourrissait près de mangeoires de tournesols et de graines mélangées où allaient et venaient des tarins, des chardonnerets, des roselins et des Bruants familiers. Il n'est resté que quelques minutes.

Adulte en mue. Poitrine rousse, strié sur le côté, ligne noire prononcée sur la queue. Peut-être le même que la semaine passée.

Un oiseau entendu très tôt ce matin.

Un labbe de petite taille vu de près et photographié lorsqu'il s'éloignait de moi (photos médiocres, voir eBird). Différente teinte de coloration que celui observé il y a deux jours sur la rivière des Outaouais. L'oiseau avait les caractéristiques suivantes: les ailes étaient d'apparence longues et pas nécessairement larges, une marque blanche parmi les primaires en dessous de l'aile mais je n'en ai pas observé sur le dessus en plus de l'intérieur de l'aile qui était moustaché. Couleur assez uniforme sur le dessus du dos et des ailes en plus de la coloration un peu plus pâle de la gorge au bas du ventre à l'exception des rayures aux sous-caudales et de longues rectrices.

Une Mouette rieuse toujours présente dans ce secteur.

Présente depuis plusieurs jours. Bec rouge et plus grosse que les Mouettes de Bonaparte.

Les deux pélicans étaient posés sur un corps d'arbre mort échoué, en compagnie de Cormorans à aigrettes.

Observée quelques minutes lorsqu'elle était posée dans une p'tite marre d'eau. Gros limicole à bec très long deux tons, plumage brun chamois, tacheté. Présence connue. Elle s'est envolée lorsque le photographe est allé trop proche de la marre d'eau.

Adulte présent depuis le 19 août, vu à 7-8m au bout du quai Boulanger.

Observé sur le bord d'un des bassins d'épuration.

Deux individus se répondant.

Un individu toujours présent sur le site.

Un individu observé au Géoparc à Percé.

La Barge marbrée retrouvée à l’embouchure de la rivière Rimouski, à marée montante.

Journée très venteuse, du nord-ouest sur la Pointe de Moisie qui nous a permis d'observer ce magnifique bécasseau. Il se déplace parmi les élymes des sables.

Un juvénile observé. Tertiaires grises unies, plumes du dos unies bordées d’un liseré roux.

Juvénile, tons grisâtres, nuque unie, plus petit que les MOTR qu’il attaquait, rectrices plus longues que LAPA vs primaires, lignes claires épaisses aux sous-caudales, primaires et rectrices noires, vol plus onduleux que LAPA, attaque moins aggressive.

Adulte, observé au vol cinq minutes. Svelte, envergure moindre que les GOBC qu'il pourchassait, ailes en deux tons (contraste entre couvertures et primaires/secondaires), très longues rectrices centrales, haut de la poitrine à peine plus foncé (gris pâle diffus) que la gorge ou le ventre.

Vue aussi posée sur les rochers directement en face des condos Natakam.

Limicole de gros format avec long bec bicolore retroussé et de coloration rousse y compris le dessous des ailes.

Une Mouette rieuse toujours présente.

Un individu revu.

Deux individus revus sur le lac Saint-Pierre.

Une juvénile toujours présente.

Il se nourrissait sur le banc de sable à l’intérieur de la grande mare à Bridgeville .

Une Mouette rieuse présente.

Un adulte en plumage d'hiver quasi complet, avec mue assez avancée des secondaires et rectrices centrales. Avec le groupe de Goélands à bec cerclé attirés par les odeurs de l'émissaire des eaux usées. Grosse mouette au manteau gris pâle, bec et pattes rouges vifs. Tache auriculaire grise diffuse et une plume foncée sur le côté droit de son cou, restante de son plumage nuptial. Au même endroit où un individu avait passé une bonne partie de l'automne l'an dernier.

Un individu observé.

Un individu toujours présent.

Toujours présente.

Un individu toujours présent.

Une Mouette pygmée juvénile avec des Mouettes tridactyles.

Une adulte observée à port-Daniel

Deux individus se nourrissent dans le fond de la baie.

Longe mince bande noire à l'aile côtoyant une une longue bande blanche à l'aile, ligne malaire noire bien visible ,queue carré plus courte que la Tourterelle triste. Vu à l'extrême est de la vieille voie dans un des arbres morts à cet endroit; En compagnie de merles, jaseurs et roselins.

Perché dans les grands arbres face au manoir Philipsburg.

Deux Urubus noirs toujours présents près du Manoir Philipsburg.

Toujours présente dans la rivière.

En compagnie de deux Bécassins roux.

Bien observé parmi une bande hétérogène d’oiseaux hyperactifs (mésanges, viréos, sittelle, parulines) qui se nourrissaient dans les arbres près de l’embouchure de la rivière aux Brochets. Cercle oculaire blanc et rectrices externes blanches.

Vole au-dessus du marais.

Au moment du coucher du soleil, l’estuaire devient miroir près du rivage. La température descend rapidement et la lumière devient claire et précise. Il n'y a plus de brume de chaleur. Les conditions permettent de trouver des hareldes et des guillemots au large. Ce sont de superbes conditions pour trouver un phalarope et nous inspectons en vain tous les radeaux d'algues. Nous trouvons le labbe qui entre dans la baie de la pointe aux Goémons assez haut au-dessus de l'eau. La structure de l'oiseau n'est pas particulièrement robuste. L'oiseau n'est pas en chasse. Après quelques coups d'aile, il glisse tout doucement vers l'eau pour se poser assez loin. En vol, on ne peut distinguer de motifs de plumage puisque l'oiseau est à contre-jour. Pour nous à ce moment, il s'agit d'un labbe sp., possiblement un labbe parasite en raison de sa proximité du rivage. Cependant, nous sommes cependant à la lunette, au grossissement maximum (65x88). Au moment de se poser, l'oiseau ouvre ses ailes pour changer d'angle et freiner, c'est alors que nous pouvons voir distinctement les deux rectrices démesurément longues. Les derniers battements d'ailes juste avant de se poser font même onduler les rectrices. Nous concluons donc que nous venons d'observer un adulte Labbe à longue queue comme celui observé au début juillet près du rivage à Pointe-des-Monts.

Suis en ponton sur le lac Saint-Pierre entre les embouchures de la petite Saint-François et de la Saint-François, deux Pélicans d'Amérique présents.

Toujours présente.

Un adulte observé au télescope à 30m, au pied de la chute. Partiellement en mue. Calotte et cou en bonne partie gris (plumage d'hiver). Sourcil blanc. Dos très sombre arborant en partie les motifs du plumage nuptial. Dessous roux, délavé, du haut de la poitrine jusqu'aux sous-caudales (comprises). Côtés de la poitrine fortement barrés verticalement de taches brun foncé (marques en forme de haricot). Cela exclus la sous-espèce Andersonii du B. roux, qui est normalement mouchetée. Queue très sombre; les bandes noires sont nettement plus larges que les pâles, et celles-ci sont teintées de roux, surtout dans la partie centrale de la queue. En comparaison directe avec un Bécassin roux juvénile, plus grand, plus robuste et d'apparence bossue. Bec un peu plus long que chez la moyenne des Bécassins roux, mais encore dans la zone de chevauchement entre les deux espèces. Pas de cri entendu.

Deux individus revus. Site accessible par bateau seulement.

Avec des Urubus à tête rouge dans un dortoir.

L'Aigrette bleue juvénile est présente au Bassin de Saint-Bonaventure pour une 9e journée consécutive. L'accès y est autorisé à tous.

Deux individus se reposaient sur le lac du Huit, à l'embouchure de la rivière, au bout de la rue des Pins. Possiblement d'origine captive.