Page des oiseaux rares du Québec

Bonjour à tous, Le Moqueur polyglotte est venu nous souhaiter un Joyeux Noël ce matin sur la rue Picasso à La Prairie. Joyeuses Fêtes à vous tous! Alain Sylvain

En marchant dans les rues de Saint-Pie avec la belle famille, un merle attire mon attention. Un Moqueur polyglotte l'accompagne dans un arbre fruitier au coin de la rue Jacques-Cartier et Dufresne. Je le retrouve plus loin sur la rue Jacques-Cartier sur le fil électrique à l'arrière des maisons. Un beau cadeau de noël.

Cet après-midi, un hybride Goéland bourgmestre X Goéland argenté (Goéland de Nelson) de premier hiver observé sur la rivière des Mille Îles, à partir du coin du boulevard des Mille-Îles et de la rue Claude à Laval, secteur Saint-François.

Aujourd'hui, une sortie avec mon ami Michel et sa conjointe Maryse qui n'avait pas vu beaucoup de hiboux en 2013. Nous commençons la journée avec une Chouette épervière, suivi d'un Grand-duc d'Amérique. Puis, la Petite Nyctale nous a fait faux bond à Maizerets, mais une Pie-grièche grise sur une petite haie de cèdres nous a séduite. Après le lunch, direction coin Hamel-Henri IV, pour permettre à Maryse de voir le Troglodyte de Caroline. Il ne se pointe pas. Nous décidons de poursuivre notre route vers l'invasion des Harfangs des neiges au nord de l'Aéroport de Québec. Nous en trouvons 9. Alors que le soleil se couche, nous revenons vers les mangeoires du Troglo. Nos sorties à trois sont rares, mais chaque fois, il y a un petit miracle. En arrivant au fond du stationnement de BRP, un rapace, un hibou s'envole des mangeoires, nous fait un petit vol coulé. On hésite, on s'excite. Un Hibou des marais en pleine ville, notre douzième. De Joyeuses fêtes à toutes et à tous les passionné-e-s d'oiseaux et une pensée particulière pour Louise Simard qui nous offre des cadeaux 365 jours par année.

Aujourd’hui, je viens d’arriver chez mon père et j’ai observé un Pic à tête rouge juvénile. Malheureusement, mon père n’a pas mis de mangeoires cette année, mais mon oncle qui habite derrière (112) en a. Lorsque l’oiseau est parti de chez mes parents, il s’est dirigé vers les mangeoires chez mon oncle. J’en ai parlé à mon oncle, il l’avait remarqué cette semaine, il se doutait que c’était un oiseau spécial, mais il ne le connaissait pas. Donc cet oiseau est possiblement ici depuis quelques temps.

Observé à la mangeoire et au repos en plein soleil sur une branche d'un noyer. Il est resté environ 30 minutes avant de disparaître.

Cela fait deux jours d'affilés que j'observe la Bécassine de Wilson, derrière la bibliothèque Étienne-Parent à Beauport, dans le petit ruisseau non gelé attenant le bassin de rétention. Il est préférable d'avoir des raquettes (Paul Vaillancourt). - Vers 9 h 30 ce matin, Danielle Brassard et moi sommes allées explorer le mélézin de Beauport (St-David) et y avons été accueillies par plusieurs merles et deux Bécassines de Wilson. Une des deux se voyait mal, elle dormait et était cachée par les glaces. On lui voyait seulement la tête jusqu'à ce qu'elle se réveille et décide de s'envoler en entraînant l'autre vers les bois. L'observation a durée un bon 10 minutes. Nous les avons revues au même endroit une heure plus tard.

Régulier comme une horloge, le bruant s'est pointé aux mangeoires encore aujourd'hui au 1022 Aimé-Gravel, secteur Bagotville.

En face du belvédère sur les berges, il y avait 2 mâles adultes qui plongeaient dans les rapides en fin d'après-midi

Une petite tournée du Mélézin (St-David) et des résurgences (du Vignobles) m'a permis de rassurer Serge Lemieux quant à la santé du Moqueur polyglote. Celui-ci semblait bien en forme caché dans un fossé! Ensuite grâce aux indications de Patrice, j'ai retrouvé la bécassine près de la résurgence du Mélezin.

Observé en face du 123, rue Mantha. L'individu avait été observé pas très loin de là à une mangeoire au 922, chemin du Tour du Lac la semaine dernière.

Toujours au même endroit, près du stationnement.

Cet après-midi, j'ai eu une belle surprise à l'un des postes d'alimentation situés dans ma cour arrière. Un Troglodyte de Caroline est venu s'alimenter à deux reprises à un bloc de suif. Étant donné que c'est une première présence du Troglodyte de Caroline chez moi, les prochains jours d'observation pourront venir établir si ce dernier était tout simplement de passage ou s'il aurait décidé de choisir le secteur pour s'y installer.

Aujourd'hui plus de visites aux mangeoires et de plus longues présences que d'habitude. Sur la rue des Pins 1899 à Saint-Lin-Laurentides, au lac Castor.

Un Arlequin plongeur observé aux rapides Deschênes, entre 10 h et 13 h.

La Bécassine de Wilson est toujours présente près du stationnement de la Source Gabriel à Val-d'Or.

Deux individus observés vers 12 h dans les résurgences à l'extrême droite de la propriété, plus ou moins 250 mètres de la rue du Vignoble.

En fin d'après-midi, le bruant s'est montré le bout du bec aux mangeoires du 1022, rue Aimé-Gravel à Bagotville.

En tentant de voir, de 14 h 05 à 16 h 00, le fameux Tohi tacheté que malheureusement je n'ai point vu; je me suis consolé en voyant au moins le Bruant fauve mentionné ces derniers jours.

Sur la rive, une Grive solitaire était active, évidemment toute seule.

Photo Tohi tacheté.

Je suis arrivée à 10 h 30, le tohi était là 5 minutes plus tôt. Le Tohi tacheté s'est pointé en-dessous du conifère vers 11 h environ (Micheline Ouellet (photo), Hermel Bourque et famille Langlois). - Dès notre arrivée sur le site, on a pu bien observer le Tohi tacheté accompagné du Bruant fauve sous une petite épinette. Il y avait quatre autres observateurs dont M. Leduc de Valleyfield et Suzanne Brûlotte qui a pris plusieurs clichés des deux oiseaux. Nous sommes restés de 11 h à 11 h 15. Prendre note de respecter la propriété privée. Il faut aussi garer notre véhicule près du banc de neige, car le rang est assez étroit .

Le Tohi tacheté et le Bruant fauve sont toujours présents dans le 9ème rang de Stoke. En compagnie de plusieurs observateurs venant de Ste-Martine, de Valleyfield, de Frelighsburg, de Windsor (la famille Langlois) et de Sherbrooke: Alain Perras et sa conjointe ainsi que moi avons eu la chance d'observer ce magnifique oiseau rare!

Vers 10 h, l'oiseau se tenait au sol sous une petite épinette au bas du terrain et mangeait au sol en compagnie du Tohi tacheté.

Photo Bruant fauve.

Le Moqueur polyglotte est toujours au Parc de l'Arrondissement de La Prairie et est toujours aussi facile à observer derrière le monticule de terre/neige.

Photo prise autour de 9 h 40 depuis l'allée des voitures. L'oiseau se tenait au sol sous une petite épinette au bas du terrain et mangeait au sol en compagnie de juncos et d'un Bruant fauve (Bernard Fréchette et Lucien Lemay (photo)). - Ce matin, j’ai revu le Tohi tacheté de Stoke vers 10 h 20, peu après le départ de deux observateurs de Châteauguay qui l’avaient photographié. Le Bruant fauve signalé hier par Mathieu Tétreault y était aussi. François et Karine m’ont écrit qu’ils apprécieraient recevoir les photos du tohi et des autres oiseaux prises chez eux.

Depuis plus d'un mois d'observation, le Troglodyte de Caroline semble moins farouche et en pleine forme. Il fait le tour de toutes les mangeoires, vu ce matin et cet après-midi, c'est sur la rue des Pins 1899, à Saint-Lin-Laurentides.

Après une petite infidélité d'une journée, le Bruant familier est retourné au poste d'alimentation du 1022, rue Aimé-Gravel, secteur Bagotville.

La Buse à épaulettes était toujours présente coin Vauquelin et R-100, vers midi.

L'oiseau se tenait dans un arbre bordant un fossé situé à l'entrée du sentier longeant l'arrière des maisons de la rue Picasso.

À l'île des Sœurs, je prenais la direction centre-ville sur l'autoroute 10 dans le secteur de l'édifice de Bell Canada lorsqu'un Moqueur polyglotte a survolé la route vers midi. Peu d'oiseaux dans le boisé, mais tout de même deux Grands Pics.

Ce matin, en descendant de voiture, j’aperçois deux oiseaux en vol qui se suivent. Première réaction: deux Moqueurs polyglottes. Mais rapidement, je change d’idée. Le premier est bel et bien un Moqueur polyglotte, mais pas le second. Ce dernier ne suit pas le premier, mais le pourchasse plutôt. Aucun doute possible c’est une Pie-grièche grise. Elle finit par abandonner après plusieurs attaques ratées. Le moqueur a pris de la vitesse et de la distance. Ça n’arrive pas à tous les jours d’assister à une scène pareille. C’est une première pour moi en 50 ans d’ornithologie. Je connais très bien ces deux espèces, et je puis vous dire que c’est loin d’être évident de les séparer d’entrée de jeu dans une situation pareille. Même longueur, même couleur, du blanc dans les ailes...

Ce matin je me suis essayé pour voir le Tohi tacheté sur le 9e Rang à Stoke (Estrie). À mon arrivée, un autre ornithologue était sur les lieux, mais les propriétaires étaient absents. Nous attendions sur le bord de la route en espérant voir l'oiseau de cet endroit. Nous avons d'abord pu observer un magnifique Bruant fauve qui cherchait de la nourriture sous l'abri tempo. Ensuite, le père du propriétaire, qui passait par là, nous a gentillement autorisés l'accès à la galerie. Bingo! Après environ 15 minutes d'attente, le tohi est apparu derrière nous en criant. L'oiseau semble avoir la tête pâle (gris-brun foncé), les sous caudales relativement pâles et les ailes fortement tachetées. Je m'avance en supposant qu'il s'agit d'une femelle de la sous espèce "great plains" (selon le Sibley complet).

Un magnifique Bruant fauve cherchait de la nourriture sous l'abri tempo du 226, 9e Rang Est à Stoke.

Ce matin, en route avec Francine Cauchon pour aller admirer le Bruant Fauve à Saint-Étienne. La lumière est magique, le lieu magnifique en bordure de la rivière Beaurivage et le couple accueillant et fier de veiller sur ce bijou. Y'a de biens beaux moments dans la vie des passionné-e-s d'oiseaux.

Photo Tohi tacheté.

Le Tohi tacheté revu ce matin au 226, 9e Rang Est à Stoke (François Rocheleau-Lieutenant, Karine St-Cyr). - Le Tohi tacheté est toujours présent à Stoke. J'inclus une photo du dessous de la queue de l'oiseau qui pourrait peut-être permettre l'identification de la sous-espèce. Merci à Mme St-Cyr pour son accueil exemplaire.

Après la tempête, je me demandais si le Troglodyte de Caroline était toujours là. Mon vieux pote Simon et mon petit français Sylvain, initié aux rigueurs du Québec lors du recensement des oiseaux de Noël n'avaient jamais vu ce rondelet troglo. Un petit arrêt le matin au grand vent sans résultat et un arrêt en fin de journée «tranquilos» dans la chaleur du «petit bac bleu» où il s'est présenté et nous a offert un beau moment. Eh bien oui! Il a survécu à la tempête!

Une Buse à épaulettes observée sur la rue Major à Papineauville.

Aujourd'hui, grâce aux indications de Paul Dechêne, j'ai pu observer la Grive solitaire au Domaine de Maizerets entre 13 h 30 et 13 h 45. Elle se fait dorer au soleil dans un arbre fruitier. Elle se tenait dans le secteur de l'arborétum avec une dizaine d'étourneaux.

Il était dans le petit sentier à environ 30 à 40 mètres de l'entrée à hauteur, bien tranquille et tout ébouriffé pour garder sa chaleur. Il semblait en bonne forme.

Retrouvé au repos dans un groupe de Merles d'Amérique à Beauport, dans le secteur Jean-Pinguet.

Il a fait -30°C la nuit du vendredi, le 13 décembre 2013. Chez moi, je nourris les oiseaux avec du tournesol, suif et maïs. Il y avait les habitués (pics, geais, mésanges, bruants, tourterelles, juncos, etc.) Je réside sur le bord d'une rivière en forêt. Un moment donné, j'ai vu un oiseau que je n'avais jamais vu près des postes d'alimentation. Les flancs roux m'ont d'abord surpris, la tête noire, le bec noir, la queue toujours relevée. J'ai observé aux jumelles et j'ai très bien vu les yeux rouges. Au niveau des tâches blanches c'est pas clair pour moi et il me semble que ça ferait loin pour un tacheté d'être sorti si loin de sa zone de répartition. Le samedi, le tohi a mangé du tournesol tombé au sol sous un sapin. Il partageait le dessous de l'arbre avec trois Geais bleus l'écureuil roux et un bruant. Il faisait -16°C et c'était vers 13 h 15 quand je l'ai vu le samedi. Il était très nerveux et n'est pas venu longtemps autour de la maison. Le lendemain dimanche le 15 décembre, après les 30 centimètres de neige tombés la nuit, il a passé la journée au même endroit. J'ai pu le prendre en photo par la fenêtre quand il se posait sur le vinaigrier ou le mélèze.

Hier, j'ai observé un Oriole de Baltimore immature au 127, Rang 1 de Shenley Sud à Saint-Martin de Beauce. J'y suis retourné deux fois aujourd'hui pour tenter de photographier l'oiseau, mais je ne l'ai pas revu. Par contre, les propriétaires Michel Turcotte et Carole Pépin l'ont vu cet avant-midi. Ils observent l'oiseau à tous les jours depuis cet automne. Il va sûrement y avoir un des membres de notre club (GOBE) qui va pouvoir le photographier, car l'oiseau est très présent aux mangeoires à tous les jours.

Surprise ce matin en cherchant la Paruline des pins au natatorium de Verdun. J'ai bien vu l'oiseau rapporté, mais il n'y avait pas une, mais bien deux Parulines des pins qui suivaient la troupe de mésanges, de sittelles et un grimpereau! J'ai vu les deux oiseaux en même temps à deux mètres un de l'autre, il n'y a donc pas eu de confusion. Un individu est nettement plus jaune que l'autre, c'était donc probablement un mâle et une femelle. Les deux oiseaux étaient dans les premiers arbres à l'ouest du natatorium. Pour voir toute une série de photos des deux individus : http://oiseaux.hobby-site.com/wazo/wazo_9265.html La photo 10 montre bien l'individu plus gris tandis que les photos 1 à 6 montrent bien l'individu plus jaune.

Ce matin par un froid arctique, je suis allé faire un petit arrêt sur le boulevard Hamel à côté de la rivière Lorette, où des mangeoires ont été aménagées pour espérer prendre en photo le Troglodyte de Caroline mentionné plus tôt cette semaine. J'étais presque désespéré, car un Épervier de Cooper faisait la loi juste dans l'arbre à côté des mangeoires. Quelle joie après le départ de l'épervier de voir apparaître au bloc de suif cette petite (bien ronde) rareté ces temps-ci. Comme quoi lorsque nous sommes désespérés, il faut toujours patienter une quinzaine de minutes de plus et c'est souvent à ce moment-là que nous effectuons nos meilleures photos ou observations.

Par -35°C à la source Gabriel, une Bécassine de Wilson solitaire.

Josée et moi avons été surprises de voir la Bécassine de Wilson encore présente au bassin de rétention au nord de Félix-Leclerc à Aylmer.

Après avoir traversé une nuit froide et cinglante côté température, le bruant est réapparu aux mangeoires du 1022, rue Aimé-Gravel dans le secteur Bagotville.