Page des oiseaux rares du Québec

Observé dans les arbustes, près du fleuve, vis-à-vis la deuxième mangeoire.

Une Paruline des pins était toujours présente au Récré-O-Parc de Sainte-Catherine, à la mangeoire près de l'accueil, en fin d'après-midi.

À la mangeoire no 4, vers 10 h.

Le Solitaire de Townsend a été bien présent aujourd'hui. En plus des fruits de sorbier, il a mangé des cerises sauvages que monsieur Luc Légaré, de Saint-Georges, m'a apportées en quantité: grand merci! Je l'ai observé dès 6 h 50, je devais quitter, mais Ronald McCutcheon a vu l'oiseau tout au long de la journée.

1- Le jeune Pic à tête rouge est toujours présent et il ne manque pas de compagnie: Geai bleu, Tourterelle triste, Junco ardoisé, Sizerin flammé, Pic mineur, Chardonneret jaune et tutti quanti. On dirait qu 'il est là depuis un bon bout de temps...(Paul Dechêne). 2- Arrivé dans la rue des Bannières vers 14 h 30, quelques photographes étaient dans la cour du 1997 où il y a plusieurs mangeoires dont une de suif. On dit que l'oiseau est farouche, mais donnons-lui une chance. Lorsque ces messieurs sont partis, 15 minutes plus tard, le pic est revenu et j'ai pu bien l'observer de mon automobile (Donald McCutcheon).

Un Canard branchu femelle a été observé au Récré-O-Parc avec trois Canard d'Amérique et un gros groupe de Canards colvert près de l'entrée.

Une Grive solitaire revue (8 h 30) au Parc Jean-Drapeau. Vue de dos proche des graines au sol, s'est enfuie rapidement et pas revue.

Une Moqueur roux revue à plusieurs reprises au Parc Jean-Drapeau.

J'ai enfin été voir l'autre paruline hivernale à Québec: la Paruline à croupion jaune. Un gentille dame qui habite l'immeuble m'a aidé à l'observer.

Toujours présente à la mangeoire près de l'accueil.

Une Sarcelle d'hiver était posée sur la neige avec les Canards colvert en bordure de la rivière.

Un Urubu à tête rouge observé (16 h 25) à partir du Parc Saint-Charles à Varennes. Il se déplacait en planant. Gros oiseau noir, petite tête, dessous bicolore avec les primaires et secondaires grises.

"L'oiseau prodigue" est revenu à sa mangeoire ce matin vers 8 h après trois jours sans s'être présenté. Nous avons craint que les grands froids de la fin de semaine lui ait été fatal, mais non, l'oiseau semble en bonne forme. Où va-t-il pendant ces absences répétées? Bien difficile à savoir..., à suivre...

J'ai observé un Canard pilet mâle parmi les Canards colvert et noirs sur la rivière Richelieu, en bas du barrage, à partir de la 1ère rue à Richelieu.

Quinze Perdrix grises ont été aperçues en face du 3084, chemin Bois-Clair. Elles étaient à environ 100 mètres du chemin.

Arrivés sur place à 7 h 10, ma sœur Thérèse et moi avons vu arriver le Pic à tête rouge au bout de la petite rue vers 7 h 15. Pendant une quinzaine de minutes l'oiseau a visité quelques grands arbres dont un tout près de nous sur le bord de la route avant de disparaître hors de notre vue.

Photo Pic à tête rouge.

Une Buse à épaulettes observée à la pépinière Cité des Jeunes.

Près du pavillon du Canada

Près du pavillon du Canada

Lundi matin, 8 h 28, après trois jours de froid intense, les deux petites Parulines des pins étaient bien portantes et nous étions bien heureux de les voir.

La Paruline des pins observée près du petit pont à droite de la première mangeoire.

À 11 h 30, j'observe avec grand plaisir, le Pic à tête rouge immature sur la très courte rue des Bannières, au nord de la rue des Balises, par Jean-Gauvin Nord. Il me semble peureux, se colle aux troncs d'arbres et ne se risque pas à venir aux mangeoires.

Elle est arrivée le 22 octobre 2015, mais n'est pas repartie. Je la vois presqu'à tous les jours. Maintenant, on l'appelle Mme Pic et elle est belle à voir. Photo 22 octobre 2015.

Toujours vivantes, les Parulines des pins ont passé à travers une nuit froide de plus de -30 degrés. Robert Côté, Jean-Paul Pelletier et moi nous relayons pour qu'elles ne manquent pas de nourriture et s'assurer que tout va bien!

Un immature, très nerveux ou disons indisposé par la présence humaine même lorsque les observateursTRICES sont disciplinés et respectueux.

Le Bruant à couronne blanche immature est toujours présent. La plupart du temps, il se contente des graines tombées des mangeoires. Depuis quelques jours cependant, il lui arrive de s'agripper à la mangeoire remplie de tournesol et après beaucoup d'efforts, il réussit à grappiller quelques graines.

Un Bruant de Lincoln fréquente toujours une mangeoire du boulevard Mercure à Drummondville.

La Paruline des pins toujours présente aux mangeoires. Ses séjours sont plus nombreux et plus longs. J'étais étonnée mais si heureuse de la revoir ce matin après une nuit aussi froide.Tout de suite après s'être alimentée, elle se réfugie dans la haie de cèdre qui ceinture la cour. Elle n'a pas le réflexe de s'abriter du vent dans le nichoir comme le faisait le Troglodyte de Caroline l'an dernier.

Les deux Parulines des pins venaient se nourrir à la mangeoire. Elles pouvaient manger des ténébrillons vivants que les observateurs présents apportaient spécialement pour elles. Aussi du pain d'oiseau et du tournesol.

Étonnement la Paruline des pins s'alimentait, à 16 h 30, à la première mangeoire avec les cardinaux.

Le pauvre Roitelet à couronne rubis a été observé, à 16 h 30, tentant de se protéger du vent derrière le bâtiment des toilettes. Avait visiblement du mal à voler.

Quatre Bec-croisé des sapins observés vers 10 h 30 en bordure de la rue Principale près de l'entrée du site Rivière-à la-pêche à environ 6 km au nord du poste d'accueil de Saint-Jean-des-Piles du Parc National de la Mauricie. Les quatre Bec-croisé des sapins sont venus également manger dans la rue en face de deux cabines téléphoniques Bell. Coordonnées GPS : 46.7570941 -72.809646

En arrivant dans le stationnement vers 10 h, quatre Bec-croisé des sapins sont passés en vol tout en criant.

Un Eider à tête grise (mâle adulte) observé à partir du quai de Percé.

Un juvénile bien près d'obtenir son plumage adulte. Observé près de mangeoires au coin des rues des Bannières et des Balises.

Un Pic à tête rouge ce matin découvert par Roger Simard.

Oiseau trouvé ce matin par Roger Simard et observé par plusieurs personnes.

Possibilité de deux individus, première observation à 10 h 50 et deuxième observation à 11 h 10 dans un autre secteur du jardin. Les taches de la poitrine et la couleur du plumage semblaient plus foncées sur l'un des individus. À l'analyse des motifs de grivelure sur les photos prises (sans tenir compte des couleurs/éclairage), celles-ci sont différentes.

Une Macreuse brune (mâle de premier hiver) présente dans le secteur du quai de Percé.

Active aux mangeoires.

Un Faucon gerfaut perché sur un silo sur le rang Lainesse à Victoriaville.

Un seul Logopède des saules trouvé sur le chemin Caribou au km 15. Quelques traces, ici et là tout au long de la route, de quelques individus solitaires, mais les oiseaux n'ont pas été vus.

Une femelle en aval du pont Marchand. Elle suivait principalement les Bernaches du Canada et parfois les Canards colvert.

Toujours près de la première mangeoire, deux tentatives pour se nourrir par terre, peut-être trop de neige, est remontée rapidement dans les branches basses pour tenter de se nourrir.

La différence dans la forme de la tête des deux individus a laissé un certain doute dans l'identification. Toutefois, Gérard Cyr, Pierre Bergeron et Michel Bertrand précisent que l'oiseau de gauche est définitivement le Petit Fuligule par la forme de la tête. Comme les deux sont de la même grosseur, ils sont de la même espèce. Le bec et le petit onglet ajoutent à cette identification.

Femelle avec les Canards colvert près du pont.

Un Pic à tête rouge, mâle adulte, vu à Pierrefonds (Montréal) pendant 5 minutes vers midi le 10 février par Ginette Sirois, dans un arbre entre le grand condo de 10 étages (380, chemin de la Rive-Boisée) et le bord de la rivière des Prairies (une rue à l'est du boulevard Saint-Jean, au nord du boulevard Gouin). L'oiseau s'est déplacé vers l'ouest d'arbre en arbre. On a facilement accès au rivage par un terrain vague situé en face du 253, chemin de la Rive-Boisée. Il y a un petit bois au coin des boulevards Gouin et Saint-Jean. De l'autre côté de la rivière, c'est l'île Bizard.

Je fais décoller une Bécassine de Wilson dans un fossé de drainage entre deux champs sur route des Champs à Matane .

1- La Paruline des pins toujours présente dans la lisière de conifères derrière la première mangeoire près du stationnement. 2- J'ai observé la Paruline des pins en fin d'après-midi à droite de la mangeoire située à l'arrière du bureau d'administration. Elle se nourrissait au sol, puis s'est envolée dans les arbres situés à droite de la mangeoire, où elle cherchait de la nourriture et se reposait. Ensuite, elle s'est envolée dans le haut des sapins en arrière et cherchait toujours à manger en regardant la pointe des branches. Elle était très active en fin d'après-midi.