Page des oiseaux rares du Québec

Un Cygne siffleur présent depuis plusieurs jours au marais du lac d'Amiante.

Deux Cygnes siffleurs en vol vers l'ouest, observés à la lunette à une distance permettant de bien voir les détails. Long cou très droit et bec noir.

Un Moqueur polyglotte revu sur la rue des Migrateurs à Terrebonne.

Un Oriole des vergers mâle immature revu au marais Réal D.-Carbonneau à Sherbrooke.

Mâle et femelle en alimentation relativement près de l'estacade.

Un Phalarope à bec étroit revu dans le dernier bassin de la route Janelle à Baie-du-Febvre.

Repéré avec des Carouges à épaulettes alors que les oiseaux traversent la route. Il n'a pas été revu par la suite, malgré mes visites quotidiennes à cet endroit.

Bien vu avec un ver de terre dans le bec.

Chante sans arrêt dans le haut des grands arbres, sentier vert.

Un Cygne trompette observé au déversoir principal East Sullivan.

Une Mouette rieuse avec les Mouettes de Bonaparte, bec rouge et pattes rouges. Aspect général un peu plus pâle que la Bonaparte. Même grosseur.

Vu sur le dernier bassin à travers les Canards souchets et les Érismatures rousses. Très petit avec du roux au cou, bec assez long noir, dessous blanc et tête foncée.

Un Fuligule morillon mâle toujours présent aux étangs aérés de Sept-Îles.

Un individu vu le long de la piste cyclable Serpentine, à environ 1km avant La Falaise dans un endroit dégagé.

Un Phalarope à bec étroit observé à la RN de Pointe-Yamachiche.

Un Phalarope à bec étroit se faisant pourchasser par une Hirondelle bicolore dans le dernier bassin. Trouvé par M. Ron.

Un Pic à ventre roux observé sur la rue des Anémones à Mont-Laurier.

Oiseau entendu le long d’un fossé humide jouxtant une ancienne tourbière boisée. Le chant fort et puissant était constitué de notes ascendantes comme souiit-souiit-souiit-souiit-souiit ou encore sweet-sweet-sweet-sweet-sweet. L’oiseau était localisé entre le stationnement du Boul. Bouthillier et le pont vert. La végétation m’a empêché de voir l’oiseau.

Un Pélican d’Amérique au repos sur un petit îlot dans la baie entre la 126e et 128e Avenue. Selon les résidents, l’oiseau est présent depuis quelques jours déjà.

Repéré dans un petit arbre mort. Oiseau jaune au dos verdâtre de bonne taille, gros bec fort gris. Pas de bandes alaires ni de noir sur le dos. Bandeau sombre sur l'oeil et deux arcs blancs en haut et en bas de l'oeil. Observé à quelques reprises pour quelques secondes à se promener autour de la maison. Assez furtif. Plusieurs observateurs on eu la chance d'arriver à temps pour l'observer.

Un Bruant des plaines est toujours présent au Parc Les Salines, chantant ce matin dans les arbres près du centre de services à l'entrée du parc. Quelques observateurs.

Trois Ibis falcinelles survolent la colonie de Goéland à bec cerclé pour ensuite prendre la direction du canal de Beauharnois vers le marais de Saint-Timotée.

Une Mouette de Franklin en plumage de premier hiver. Elle se trouvait sur un îlot rocheux en compagnie d’un Goéland à bec cerclé.

Un Oriole des vergers observé sur le rang des Duquette.

Un Oriole des vergers vu depuis plusieurs jours à ce site.

Le Fuligule morillon se tenait parmi quelques autres fuligules aux Étangs aérés de Sept-Îles.

Un individu toujours présent.

Deux individus revus en après-midi.

Depuis le début du mois de mai, il se tient sur la rue des Migrateurs à Terrebonne.

Une Mouette de Franklin trouvée par T. Beck du côté d’Ottawa. Adulte, tête noire, bien vu en vol et sur l’eau. Blanc sur la pointe des primaires, bande alaire blanc évidente au vol.

Observé au Marais Réal-D Carbonneau. Se tient haut perché dans des peupliers.

Le Pic à ventre roux (probablement une femelle) est resté longtemps chez nous, alternant entre la mangeoire et le tronc du chêne tout à côté. Première observation ici.

Un Bruant des plaines toujours présent au parc Les Salines,.

Présence connue. Se promenait d'arbre en arbre proche du chalet. Chante beaucoup.

Deux individus toujours présents.

C’est en regardant un à un les goélands que je suis tombé sur un petit laridé à tête pas complètement foncé, au dos gris plus foncé. J’ai d’abord pensé à la Mouette atricille mais c’est en voyant le blanc sur la pointe des primaires et les demi-cercles oculaires épais que j’ai allumé pour la Franklin. Lorsqu’elle s’est envolée, j’ai pu voir le noir du dessous des ailes bien découpé et limité au bout des primaires, le noir du dessus des ailes était séparé du gris par une partie pâle mais pas autant qu’un adulte en plumage nuptial. Aucune trace de noir sur la queue. Elle s’est ensuite posée près d’un groupe de Goélands à bec cerclé et j’ai pu avoir une comparaison de grosseur, elle était pas mal plus petite et ne se rapprochait pas de la grosseur du GOBC comme l’aurait été la MOAT. Il s’agissait d’un individu en plumage de 1er été. Après s’être posée une deuxième fois à la limite de l’eau, elle s’est finalement envolée pour disparaître vers l’embouchure du ruisseau du Moulin.

Un Oriole des vergers toujours présent au marais Réal D.-Carbonneau à Sherbrooke.

Présente dans le même secteur que la veille.

Un individu toujours présent au nord-ouest de la tourbière.

Individu chanteur au bord du chemin. Entendu clairement seulement. Devait être dans les arbres au bord du sentier à environ 200m après la clôture.

Là depuis plusieurs jours, sociable quand même. Il a vraiment les caractéristiques du carouge avec la tête d'un jaune moutarde, une beauté.

C'est en marchant le long de la digue pour aller observer les deux cygnes trompettes que j'ai levé le chevalier, criant kleeeli, de façon clair,net et sec. J'ai alors pu voir les deux larges bandes blanches dans les ailes! WOW. Il s'est posé juste un peu plus loin en avant où j'ai dû le faire lever à nouveau pour me rendre au fond. D'aspect assez gris, bec droit, haut sur pattes, assez robuste comme chevalier.

Gros cygne blanc vu à l'embouchure de la rivière Mistassini. Il arrivait tout juste en vol selon moi, et s'apprêtait probablement à amérir, car il n'était pas là 5 minutes plus tôt quand j'ai scanné cette zone aux jumelles et au télescope. Il m'a probablement vu sortir du bosquet alors qu'il allait se poser. Étant à contre-jour, je ne l'avais pas du tout remarqué, le blanc se perdait dans le reflet du soleil. Quand je l'ai remarqué, c'est comme s'il prenait son envol, mais j'imagine qu'il était sur le point de se poser, c'est probablement là qu'il m'a aperçu, il a recommencé à battre des ailes pour prendre de l'altitude. Immense oiseau avec le dos et les ailes d'un blanc pur et immaculé alors qu'il s'envolait. Taille impressionnante en vol faisant presque 2m d'envergure d'ailes. Il est monté très haut au-dessus de la rivière est parti en direction nord. La face du cygne et la partie haute du cou sont grisonnantes, tandis que le bas du cou et tout le reste sont blanc immaculé. Il a un tres long cou. Le bec m'a semblé court et peu prononcé pour un cygne, si je compare à celui du cygne trompette. Bec noir à la base avec un soupçon de rosé très subtil de loin. Une nouvelle espèce pour moi dans Maria-Chapdelaine (48,7238,-72,3118)

Deux Cygnes trompette revus au fond de l'étang aménagé de la halte SARCEL.

Présence connue, tout au fond de la halte.

Le moqueur se tient sur la clôture est du parking du Centre d'entretien de la Voie maritime situé au bout du boulevard Matte. NE PAS STATIONNER DANS CE PARKING PRIVÉ. Il y a un parking pour le parc le long de la voie de service de la route 132.

Un individu vu rue des Migrateurs à Terrebonne.

L'Oriole des vergers toujours présent au marais Réal D.-Carbonneau à Sherbrooke.

Sur le même arbre qu'hier. Les élèves ont eu le temps de le revoir.

Lors de mon passage, j'entends un chant inconnu, je m'arrête alors et tente de savoir de quoi il s'agit. Je finis par voir l'oiseau qui émet ce chant. Il est évident qu'il s'agit d'un moucherolle. Il n'a pas le chant d'un Moucherolle des saules, ni d'un tchébec, ni d'un Moucherolle à ventre jaune et ni d'un Moucherolle des aulnes. Il possède un cercle oculaire mince complet, des barres alaires évidentes, son ventre est pâle et sa gorge plus foncée. Son dos et le derrière de tête ont une teinte verdâtre quand le soleil le frappe. Sa tête me semble grosse. Il est calme et va se percher toujours sous le couvert des feuilles, rarement il se met au bout d'une branche. J'enregistre son chant et prends quelques photos. Je quitte. À mon chemin du retour, il est toujours au même endroit, chassant même une Paruline à flancs marron. Ce n'est que rendu chez-moi en faisant des recherches que je remarque que son chant est identique à celui du Moucherolle vert dans Sybley. Vers 14 h, je retourne sur les lieux avec mon frère Luc Lemoyne et l'oiseau est revu.